On commence par le numéro d’octobre de la revue numéro 3 Lu et partagé !
J’ai Oublié Comment Ça S’appelle dans Libération, « Lundi poésie » « Sur les pages colorées de J’ai oublié comment ça s’appelle (et autres poèmes sans queue ni tête), tout ce petit monde prend vie en couches de papier coloré finement découpé par Gérald Auclin, qui est aussi aux manettes de la traduction. »
Gérald Auclin est dans La revue des livres pour enfants (septembre)
On ne nous oublie pas dans le Magazine Georges (7-12 ans) (septembre) « Bienvenue dans un monde où c’est complètement n’importe quoi. En tournant les pages, on croise des oiseaux-lions, on pêche avec des parachutes et on entend des hérissons crier « Miaou ». Avec ces petits poèmes complètement fous, tu découvriras que quand plus rien n’a de sens, tout devient plus drôle. Cette façon de jouer avec les mots et avec le dessin pour créer des histoires sans queue ni tête, c’est ce qu’on appelle : l’absurdité. L’auteur et l’illustrateur de ce livre sont des maîtres en la matière. Alors n’hésite pas à plonger dans cet univers sens dessus-dessous, tu verras, c’est très bon pour l’imagination. »
Des papiers découpés dans Le Monde(juillet)
On bavarde lors d’une interview sur Rdwa (juillet)
C’est sur ActuaBD, Frédéric Hojlo (juin) « Mots et images se répondent parfaitement, dans un ouvrage hybride entre bande dessinée, poésie illustrée et album jeunesse. Une jolie réussite ! »
Depuis juillet, plusieurs articles parlent de nos amis les lémures.
Les voici dans Télé 7 jours (3 octobre) « Avec un dessin ludique et des petits personnages attachants, l’auteur parvient à interroger le rôle du microscopique, l’évolution de nos civilisations, l’origine des mythes et la lutte des classes. Une épopée fantasy remarquable d’intelligence. »
Ils en parlaient le 14 septembre 2022 sur Radio Nova Lyon « Une BD qui mêle mythologie, sciences politiques et heroic fantasy grâce à une maîtrise de la narration séquentielle très aboutie. »
C’est dans ActuaBD(7 septembre) « De la difficile marche de l’histoire à l’inéluctable évolution, Alex Chauvel bâtit un récit microscopique qui a tout d’un grand. »
On les retrouve aussi ici Le Matin(2 septembre) « Alex Chauvel signe avec « Les pigments sauvages » un album étonnant, mêlant aventure et évolution et jouant comme rarement avec les codes de la BD. Passionnant ! »
D’après dBD (septembre) Les Pigments Sauvages est « À recommander aux curieux et aux avides d’expériences graphiques ! »
Ce sont eux qui le disent : Livres Hebdo, « Les 10 incontournables de la rentrée »
Un petit mot par Les Inrockuptibles (25 août) « Avec le bluffant Les Pigments sauvages Alex Chauvel expérimente avec le découpage de ses planches pour raconter la chute et les mythes d’un empire microscopique ! »
Qu’en pense Bodoï ? (22 août) « Le résultat est vertigineux, sans cesse surprenant, et on peut donc déguster ces Pigments sauvages de cent façons différentes. Comme une aventure épique, mêlant complots politiques et bagarres sanglantes. Comme un poème métaphysique sur le cycle de la vie et de la mort. Comme un hommage aux mythes de fondation du monde. Ou comme une des plus originales et abouties propositions de bande dessinée de l’année, et à coup sûr un événement de la rentrée. »
Présent sur BD GEST’ (19 août) « Les Pigments Sauvages est une passionnante saga digne des meilleures séries de fantasy du moment, doublée d’une impressionnante démonstration de haut niveau de la richesse narrative de la bande dessinée. À découvrir d’urgence. »
Une critique sur Avoir Alire(18 août) « Stimulant dans son propos, remarquable dans sa maîtrise des codes de la bande dessinée et doté d’une fabrication impeccable, Les pigments sauvages est l’un des titres marquants de la rentrée 2022. »
Des extraits donnant l’eau à la bouche sur Preview BD GEST’ (17 août)
Présents aussi dans la Newsletter de L’Écran fantastique (13 août) « UNE BD PAS COMME LES AUTRES Ce n’est un secret pour aucun bdphile que leur littérature favorite peut prendre toutes lesformes possibles et imaginables. Et que souvent, c’est son aspect plastique qui attire et retientl’œil en premier, plutôt que l’histoire racontée. Si l’on évoque Sardoine IV, ancien roi desLémures, débarqué de son trône par Copal 1er, si l’on ajoute le vieux Béryl, autocrate etexpert en complots, Natron, moine-combattant redoutable, tous devant faire face àl’effondrement de leur civilisation, ce dont profitent Pyrite, Topaze et Corail, employés auxégouts pour s’enfuir et vivre des aventures peu communes, notamment face à l’espritsouterrain Naïa, on peut croire à un album de fantasy comme il y en a tant… Erreur ! LesPigments sauvages, signé Alex Chauvel, est un gros pavé de 280 planches où le dessin est toutsauf ce qu’on pouvait en attendre — petites figurines aussi naïves que drôles dont la page quenous reproduisons ici donne une petite idée. Un album pour enfants, alors ? Pas du tout, iln’y qu’à lire (en prenant son temps) et se laisser porter par la poésie surréaliste d’un ensemble charmeur et tout à fait hors du commun (The Hoochie Coochie). »